lundi 12 février 2018

La clef du succès... réactiver sans cesse la machine !

Le PTB c'est, comme tous les autres groupes humains, cela fonctionne comme les jouets à friction, comme ceux à remonter, faut sans cesse les réactiver, leur donner des impulsions, changer les piles. Faut aussi de temps à autre donner de nouvelles couleurs à la façade, changer de pilote, de copilote et parfois même donner un coup de jeune à l'équipage.
Il faut aussi trouver le bon moment pour réactiver le sysyème, relancer la machine et lui donner uin max de visibilité.
Ne pas tout focaliser sur un aspect parce qu'on est convaincu qu'on le maitrise mieux que les autres, il n'intéresse peut-être pas le grand public de façon durable, il faut donc prévoir plus d'oeufs et de diveres poules dans le panier.
Il convient aussi de penser et repenser la publicité, les moyens de contacter les gens sans pour autant jeter les anciennes méthodes aux oubliettes, le tract papier est toujours d'actualité aussi bien que l'affichage dit "sauvage", une auto-radio capte toujours l'attention des gens dans la rue... Et même si 95 % des gens sont vissés à divers écrans, il en reste 5 autres qui doivent être touchés et qui sont, peut-être, les plus intéressants.
Sans tomber dans le simplisme il faut aussi accepter de comprendre que l'immense majorité des gens est insensible aux longs discours et aux terminologies scientifiques, philosophiques et politiques que d'autres manipulent à outrance pernsant que toutn le monde les comprend au point de pouvoir disserter avec !
Dans tout groupe humain il y a des gens qui y militent de façons différentes selon leur forme du moment, leur humeur du moment, la révolte qu'ils ou elles ont à un moment donné, l'engagement qu'il voudraient continuer avec d'autres pour être plus efficace, la déception du non perçu de ses attente, de l'abandon graduel des thèmes les ayant poussé à rejoindre. Il y a aussio nombre de gens qui aspirent à rencontrer d'autres gens, peut-être aussi l'autre, celui ou celle avec qui partager plus que des idfées, peut-être un bout de chemin. Il y en a aussi qui rêvent d'une société idéalisée, qui veulent pour y arriver utiliser des méthodes parfois fortes, violentes même, dans le contexte d'un parti, d'une structure idéalisée comme "révolutionnaire", séduits par les "images de marque", un passé ou un présent à l'ait très "engagé" à la limite même : "enragé".
Il y en a qui cotisent, un peu ou beaucoup et qui attendent des remerciements, certains rêvant aussi à des strapontins n cas de victoires électorales, y en a qui oublient qu'ils cotisent peu mais par ordre permanent et d'autres, toujours aussi peu, pour "faire plaisir" à des copains où même se dire que c'est déjà une forme suffisante de militantisme.
Y en a qui, c'est moins le cas au PTB, qui ont de grands rêves de pouvoir, de fric vioa des collections de mandats, d'honneurs et multiples avantage sans com!pter la flatterie de leurs égos.
Faut tenir compte de tout cela quand on est à la conception et à la direction au quotidien d'un groupe quel qu'il soit.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire